• Mon pays France de David Limon

    "Moi je dis qu'on a beaucoup de chance de vivre dans un pays,
    Où l'homme n'est pas une bête qu'on maltraite ou qu'on oublie,
    Le gros problème est du que les droits de l'homme,
    Ne sont pas respectés dans l'égalité des sommes,
    Certains abusent des dons financiers publiques,
    Sans même avoir cotisé un seul fonds d'ASSEDIC,
    Aucun se rend compte que tout devient critique,
    Des sortes de vacances aussi belles que maléfiques



    Trop de taxes, trop de dons, oh oh,
    Trop d'impôt, trop de complot, oh si,
    Je voudrais que les gens reprennent vie,
    Que chacun ait tout ce qu'ils veulent aussi,
    Je rêve que mon pays France reprenne vie,
    Que le mouvement populaire nous redonne l'avenir...


    On nous donne pas trop le choix de faire un job rêvé,
    Mais plutôt de s'en rendre compte au premier taf' donné,
    Le travail au black monte,
    Il faut pas s'étonner,
    que les gens craquent,
    s'endettent et puis sentent étranglés,
    Mais trop de charges noient tous les patrons d'usines,
    En fin de compte c'est nous qui sommes les victimes,
    Derrière notre patrimoine aussi beau que sublime,
    Se cachent trop d'actes illégalissimes


    Trop de taxes, trop de dons, oh oh,
    Trop d'impôt, trop de complot, oh si,
    Je voudrais que les gens reprennent vie,
    Que chacun ait tout ce qu'ils veulent aussi,
    Je rêve que mon pays France reprenne vie,
    Que le mouvement populaire nous redonne l'avenir...


    Sans critiquer notre politique,
    Bon sang ça craint,
    Trop de gens se plaignent de tous nos politiciens,
    qui se tuent la vie tous les jours comme des chiens,
    A se préoccuper du bien être de tous les citoyens,
    La politique appartien à celui qui veut la paix,
    Et non pas à celui qui cherche à tout briser,
    Qui mieux placé que Sarkozy nous montre la réalité ?,
    Nous ne sommes que des idées dites par le peuple français


    Trop de taxes, trop de dons, oh oh,
    Trop d'impôt, trop de complot, oh si,
    Je voudrais que les gens reprennent vie,
    Que chacun ait tout ce qu'ils veulent aussi,
    Je rêve que mon pays France reprenne vie,
    Que le mouvement populaire nous redonne l'avenir...
    "



    Si vous voulez écouter cette pollution sonore c'est par ici


    Deux possibilitées, vous gerbez ou vous rigolez...perso j'trouve pas ça très hilarant, ça me fait plutôt peur...


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  • "Sans la nommer"  Georges Moustaki



    Je voudrais, sans la nommer,
    Vous parler d'elle
    Comme d'une bien-aimée,
    D'une infidèle,
    Une fille bien vivante
    Qui se réveille
    A des lendemains qui chantent
    Sous le soleil.

    C'est elle que l'on matraque,
    Que l'on poursuit que l'on traque.
    C'est elle qui se soulève,
    Qui souffre et se met en grève.
    C'est elle qu'on emprisonne,
    Qu'on trahit qu'on abandonne,
    Qui nous donne envie de vivre,
    Qui donne envie de la suivre
    Jusqu'au bout, jusqu'au bout
    .

    Je voudrais, sans la nommer,
    Lui rendre hommage,
    Jolie fleur du mois de mai
    Ou fruit sauvage,
    Une plante bien plantée
    Sur ses deux jambes
    Et qui traîne en liberté
    Ou bon lui semble.

    C'est elle que l'on matraque,
    Que l'on poursuit que l'on traque.
    C'est elle qui se soulève,
    Qui souffre et se met en grève.
    C'est elle qu'on emprisonne,
    Qu'on trahit qu'on abandonne,
    Qui nous donne envie de vivre,
    Qui donne envie de la suivre
    Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

    Je voudrais, sans la nommer,
    Vous parler d'elle.
    Bien-aimée ou mal aimée,
    Elle est fidèle
    Et si vous voulez
    Que je vous la présente,
    On l'appelle
    Révolution permanente.

    C'est elle que l'on matraque,
    Que l'on poursuit que l'on traque.
    C'est elle qui se soulève,
    Qui souffre et se met en grève.
    C'est elle qu'on emprisonne,
    Qu'on trahit qu'on abandonne,
    Qui nous donne envie de vivre,
    Qui donne envie de la suivre
    Jusqu'au bout, jusqu'au bout.


    C'est elle que l'on matraque,
    Que l'on poursuit que l'on traque.
    C'est elle qui se soulève,
    Qui souffre et se met en grève.
    C'est elle qu'on emprisonne,
    Qu'on trahit qu'on abandonne,
    Qui nous donne envie de vivre,
    Qui donne envie de la suivre
    Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
    Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
    Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

      


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  • Eh bah! On dirait que ça recommence!

    Autant j'étais d'accord avec le mouvement de protestation de l'année dernière (même si la méthode n'était pas la bonne), autant cette année c'est portnawak!



    Et les média qui relancent la machine en annonçant régulièrement "l'anniversaire" pour pouvoir encore déblatérer des scoop fumants (c'est le cas de le dire)... pitoyable


    Pix: de l'année dernière, quand ça avait encore un minimum de sens

     


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