• Bien le bonjour!

    C'est SeAD qui vous parle [Haha, quel honneur], 2 ans après le dernier article posté sur ce glob.
    Après l'avoir reparcouru brièvement, je tiens a signaler que je ne me sens plus concernée par ce que j'ai pu écrire là dedans. Hé oui, le temps passe, et SeAD trépasse. Ou plutôt grandit un peu, et putain c'que ça fait du bien. Donc, pour résumer, arrêtez de commenter ici, je ne regarde jamais, et pas la peine non plus de vous y attarder, c'est du vent =]

    Bsou les loulous.


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  •  Fin de Kan-garou, début de SeAD, toujours en relation évidemment!

      J'habite ICI, viens prendre un verre c'est ma tournée!!
            

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       Les "gros" candidats, c'est VOUS qui les fabriquez et le vote n'existe que pour eux! On vous donne une laisse, vous payez le collier et vous vous l'attachez! Mais "c'est mieux", parce que vous l'avez choisi... Entre rouge ou bleu par exemple. Ah, si vous l'avez choisi alors...



    Ps: merci à mon prof d'histoire pour avoir tant aidé notre plan survie 2007 (comprendra qui pourra)





      


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  • LES ARMES AUX YEUX


    J'avais l'air inutile dans mes habits civils
    Le temps passe aux geôles le suicide qui vous frôle
    L'oeil qui vous méprise, vous scrute vous défie
    Egaré dans la vague m'accrochant à la vie
    Seul dans le noir, tonnes de pierres coeur à part
    Je suis pourri de l'intérieur, porte blindée sur la peur
    L'odeur de ma couche, la perfection de sa bouche

    Mon coeur saigne toute ma rage
    Les armes au yeux, les larmes comme aveu
    Cathédrale de misère peuplée d'ombres sans âge

    Là-bas je devais me taire
    Au fond je devais me plaire
    Ils ont fouillé mon présent, enchaîné mon présent
    Compromis mon futur, civil, sexuel et nature

    J'ai la gangrène de l'intérieur
    Qui ronge la douceur qui s'estompe
    De cet endroit hostile
    Ma largesse d'esprit dans l'étroitesse des murs

    Mon coeur saigne, saigne toute ma rage
    Les armes au yeux, les larmes comme aveu
    Je suis fou de courir, de parler, de sentir

    Je suis tout le temps agressé
    La haine ne peut s'effacer
    On me parle de mes yeux, de leur couleur lavasse
    De leur froideur animale, le dégoût prend la place

    Mon coeur saigne sur toute mon âme
    Mon âme fait l'amour à son âme
    Dans mes nuits carcérales, les femmes restaient pénales.



     

    TRUST


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